Cela commence comme un rêve d’enfant mais aussi par l’avant dernière page du Marin, le journal de la profession. Y figurent les coordonnées de toutes les compagnies maritimes battant pavillon français et cela occupent alors la pleine hauteur de la page, plus d’une trentaine d’armements et trois cent cinquante navires à cette époque. Un courrier à chacune d’entre-elles, une réponse positive …
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